Ici commence la liberté.
La liberté de bien se conduire.
 
Voici l'espace, voici l'air pur, voici le silence,
Le royaume des aurores intactes et des bêtes naïves.
Tout ce qui vous manque dans les villes,
est ici préservé pour votre joie.
 
Enterrez vos soucis et emmenez vos boites de conserves.
Les papiers gras sont les cartes de visite des mufles.
 
Ouvrez vos yeux et vos oreilles fermez vos transistors.
Pas de bruit de moteur inutile, pas de klaxons.
 
Écoutez les musiques de la montagne.
 
Récoltez de beaux souvenirs, mais ne cueillez pas les fleurs.
N'arrachez surtout pas les plantes : il pousserait des pierres.
Ne mutilez pas les fleurs, marchez sur les sentiers.
 
Il faut beaucoup de brins d'herbe pour tisser un homme.
 
Oiseaux, chevreuils, lapins, chamois,
Et tout ce petit peuple de poil et de plume
ont désormais besoin de votre amitié pour survivre.
 Déclarez la paix aux animaux timides.
 Ne les troublez pas dans leurs affaires
 L'ennemi des bêtes est l'ennemi de la vie.
 
Afin que les printemps futurs réjouissent encore vos enfants !
 
Samivel poète et randonneur

bonjour...quelques photos de la rando d'hier.. 

notre ami Christian seul randonneur accompagnant mon "homme"

ils s'entendent bien ces deux là...ce sont deux joyeux lurons...

 Cet Ermitage avec chapelle et oratoires, fut construit vers 1530 là où se trouvait auparavant le château de Pêne, et la chapelle Sainte Anne, tous deux disparus, il est construit en calcaire, il est composé d'un vaisseau avec un étage carré, un couvrement en voûte d'ogive, un toit à longs pans, et une toiture de tuiles creuses.

 dommage , il était fermé..

                                        une journée entière en rando....ce n'est que du bonheur. on oublie tout...

chapelle ste Catherine

journée entre copines pour moi avec Béa et Mireille..

 bonne journée à vous amitiés... YVETTE...

poème d'espoir....

Je nous souhaite d’aimer

Je nous souhaite la folie de croire

Que le monde peut être transformé,

C'est-à-dire plus juste, plus fraternel.

Mais c’est en nous

Que la flamme doit être ranimée.
Osons !

Je nous souhaite la vigilance,

Au milieu de la nuit

Et la force de rêver.

Et si la clarté des étoiles

Nous paraît encore lointaine,

Je demande la force du souffle

Qui conduit le coureur épuisé

A transmettre à d’autres le flambeau.

Peu importe si, parfois,

Le genou fléchit et le cœur se serre,

Le feu est dans le ciel noir

Où nous ranimerons notre vaillance.

Le feu est en chacun de nous

Comme un miroir

Où  nous nous reconnaissons

Hommes parmi les hommes.

Jean Ristat

 bonjour... Juste un  BESOIN DE DOUCEUR

et le joli bouquet des fleurs du jardin....

bonjour, suis triste ce matin, Fabienne qui a tant donné d'amour  a ses enfants et qui souffre de voir son Rémi se détruire..et que faire? Il est majeur et ne veux rien entendre...il nous dit que c'est sa vie....il en fait ce qu'il veux..c'est dur très dur...

j'avais envie d'en parler, les larmes coulent ce matin...comment cela finira-t-il?

je n'ose pas y penser...et pourtant.....

merçi a vous . .bonne journée ..amitiés d'une mamie qui souffre... et qui ne sait que faire....

hier, a coté de chez nous... YVETTE

BONJOUR ET BON 1ER MAI A TOUS ET TOUTES...

ce matin, a Amélie un vent violent, je vous assure que ça décoiffe donc pas de rando, cela serait imprudent surtout que cet après midi il devrait se renforcer..on reste donc au chaud....

cet après midi ce sera scrabble et lecture... 

je viens de finir le 1er tome..

La courée narre l'existence des travailleurs pauvres du nord de la France à la fin du XIX ème siècle, le début de l'aventure de la Société des chemins de fer, les dures conditions des enfants, des femmes et des hommes dans les usines de filature, les épidémies de choléra, de typhus, une vie dure, dure....à laquelle on n'ose pas imaginer!
L'héroine, Constance, sort à peine de l'enfance lorsque son existence bascule dans l'horreur.
Sa vie sera jalonnée d'évennements malheureux, et de quelques petites bribes de bonheurs, toutes petites!
L'insurrection contre les patrons qui se solde par des tueries abominables, le début du syndicalisme, une injustice sociale qui nous rappelle Zola dans Germinal, tout nous donne envie de nous révolter avec les personnages de ce superbe roman.Il existe une suite à ce dernier, "Louise", "Benoit" , à lire absolument....
Mieux que tous les livres d'histoire, ce roman fait prendre conscience des progrès acquis et qu'il ne faut jamais baisser les bras ...
Et surtout se souvenir que c'est grâce à tous ces gens qui se sont battus bien avant nous que les progrès sociaux sont apparus peu à peu, nous leur devons beaucoup et nous n'en avons pas toujours conscience..

un livre passionnant..

 et j'ai commençé le 2ème tome..

 bonne journée a vous et amitiés a vous..YVETTE