• COUCOU..hier après  Camprodon , nous sommes allés a Bésalu..

    Besalu est vivante, ses coins de rue respirent, son atmosphère s’entoure de mystérieux et bouillonnants silences. Les cris des enfants et les discussions des adultes sous les arcades de la Plaça Major, qui accueillait le marché au Moyen Age et qui fut la voie d’entrée depuis Figueres, Olot et Girona, font vibrer le cœur de la commune situé au Monastère de Sant Pere. Mon arrivée s’est faite par le bras que Besalu tend à ses visiteurs au-dessus de la rivière Fluvia depuis le XI e siècle : Le vieux pont ou Pont Romain, avec ses sept arcades qui reposent en toute sérénité sur les roches de la rivière depuis près d’un millénaire. Certains racontent qu’autrefois, au milieu du pont, l’ont devait s’acquitter d’un péage comtal, aujourd’hui en revanche l’endroit offre un pur moment d’histoire. Combien de gens y passèrent et combien y passeront encore ? Cet instant est de ceux qui restent gravé dans une  mémoire pour le reste de la vie. Mais l’origine de Bésalu appartient à une époque bien plus ancienne, celle des celtes ibères, qui baptisèrent la cité du nom de Bisuldunum, ce qui signifie forteresse entre deux rivières. A partir du 2e siècle les Romains vont en faire le noyau fondamental de la région, en la reliant avec les plaines de l’Emporda, du Pla de l’Estany et les montagnes de la Garrotxa. Les fortifications de Bésalu passent par l’ancien château situé au dessus du tertre qu veille sur les restes de « la canonica » de Santa Maria. Situées stratégiquement à la croisée des chemins entre les grandes autres villes proches que sont Olot, Figueres et Gérone. Au fil des siècles Bésalu s’agrandit et au XI e siècle englobe la Garrotxa, une partie du Ripolles, la partie la plus occidentale de l’Alt Emporda, Banyoles et une partie du Vallespir en Catalogne Nord. Une fois passé le pont, on entre dans la vile par l’Aljama, l’ancien quartier juif, dont il reste encore les vestiges de ses bains ou Miqvé, découverts en 1964 de manière fortuite.

     

     

    bonne soirée...amitiés YVETTE

     

     


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  • BONSOIR....nous étions aujourd'hui en Catalogne sud..... a Camprodon..jolie pette ville ...

    Camprodon est une petite ville espagnole, située dans la province de Gérone et la communauté autonome de la Catalogne.
    La ville s'étend sur 103,4 km² et compte 2 578 habitants depuis le dernier recensement de la population. La densité de population est de 24,9 habitants par km² sur la ville.
    Entourée par Llanars, Sant Pau de Segúries et Molló, Camprodon est située à 11 km au Nord-Est de Sant Joan de les Abadesses la plus grande ville à proximité.
     la ville est située à 944 mètres d'altitude... amitiés a vous qui passez par là...

     

     

     


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  • coucou...aujourd'hui mon "homme" a été aux arbouses...reste ma gelée a faire...

    L'arbousier, connu également sous l'appellation 'Arbre aux fraises', est un arbrisseau rameux commun de la garrigue. Si, dans son milieu naturel, il peut atteindre parfois 8 mètres de hauteur et 10 mètres de largeur, dans des régions plus tempérées sa taille avoisinera 3 ou 5 mètres de haut.

    Le tronc est de couleur brune et, avec l'âge, des plaques d'écorce se détachent. Les jeunes rameaux rougeâtres se dressent puis s'étalent. Les feuilles lancéolées, aux bordures dentées, sont coriaces et luisantes.

    Les fleurs de l'arbousier sont en forme de clochettes regroupées en panicules blanches (ou roses pour Arbutus unedo 'Rubra'). Les fruits, les arbouses, sont des baies rondes hérissées de protubérances pyramidales. D'abord vertes, elles se colorent en jaune puis en rouge au fur et à mesure qu'elles murissent... mais cela, au bout d'un an !

     

     

    .                                                       .connaissez vous ce fruit?

    mon "homme" aime bien, moi un peu moins mais en gelée c'est excellent...bonne sorée YVETTE


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    BONSOIR..la rando pour nous c'est toute notre vie et cela depuis biien longtemps...regardez..Mickaèl l'année dernière...en 1987 c'était Christel a l'age de 6 ans dans la Vanoise...Cliquez sur la photo pour la voir en grand...

    se retrouver dans la nature c'est toute notre vie ou presque...bonne soirée amitiés YVETTE

     

    Mickaél a l'age  de 5 ans

     


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  • la rando de mon "homme" de ce jour au Néoulous....ils étaient 10 et il faisait super beau malgré un peu de vent...

    amitiés a vous YVETTE

     

     

      

    Point culminant (1200 mètres et quelq...

    Point culminant (1200 mètres et quelques) des Albères, chaine montagneuse dominant le Roussillon, le Pic Néoulous se gagne au prix d'une randonnée courte mais intense.

    Le sentier démarre depuis le centre du village de Laroque des Albères. Lorsqu'on quitte le village, on s'engage dans une foret que l'on ne quittera plus jusqu'au sommet. Lors de l'ascension, une petite bifurcation vous fera découvrir un dolmen (un dolmen à 900 mètres d'altitude...L'Homme est étonnant).
    Peu avant le sommet, une petite source vous permettra de vous désaltérer.
    Une tour rectangulaire en pierre plate marque le sommet. De là le Roussillon paraît aussi plat que le pays de Jacques Brel. Vous vous rendrez compte également de l'important dénivellé que vous avez parcouru en voyant le village de départ. Sensation de vertige.
    Côté espagnol (puisque le pic se situe sur le tracé de la frontière), on peut apercevoir le château de Requesens et la baie de Roses.

    En contrebas, subsiste un ancien puits de glace (pou de gel, en local) qui servait à approvisionner la plaine en glaçons et à rafraîchir ceux qui montaient les rochers du dolmens.

     

     


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